samedi 17 novembre 2012

Le nouveau livre du Dr Leir. Quelques extraits



Le nouveau livre du Dr Leir Contacts OVNI. La dernière frontière
Quelques extraits

Gildas Bourdais, novembre 2012-11-12




Voici quelques « bonnes feuilles » du nouveau livre du D Roger Leir, Contacts OVNI. La dernière frontière, paru en octobre 2012, que j’ai déjà présenté brièvement dans un premier article sur mon blog :
http://bourdais.blogspot.fr/2012/09/un-nouveau-livre-du-dr-leir-contacts.html">

Je le complète ici avec quelques courts extraits (avec la permission de l’éditeur) sur les nouveaux cas présentés dans le livre. Je veux souligner le lien manifeste qui apparaît, notamment sous hypnose, entre implants, enlèvements et ovnis. Des séances d’hypnose ont été conduites par Yvonne Smith, hypno- thérapeute certifiée travaillant avec Roger Leir, et ayant mené elle aussi des enquêtes sur les enlèvements, qu’elle a relatées dans son livre Chosen. Je donne ensuite un résumé des indices physiques observés, puis un aperçu sur l’étude scientifique importante de l’implant extrait lors de la quinzième opération, qui figure également dans le livre. Leir se risque en outre à quelques réflexions personnelle sur ce que pourraient signifier tous ces enlèvements et implants. Un autre chapitre fait le point sur l’affaire de Varginha, lieu du crash supposé d’un ovni au Brésil en 1996, sur lequel Leir a également enquêté avec ses amis brésiliens. Pour terminer, on trouvera un texte intéressant, émanant de l’Office scientifique de la Présidence des Etats-Unis (OSTP), qui s’intéresse fortement aux travaux de Leir et de ses collègues… : Les ovnis n’existent pas, mais ils sont quand même intéressants ! Voici donc quelques extraits sur les dernières opérations.

14ème opération, « Jack », le 15 12 2007 (chapitre 4)
Implant dans la cuisse droite



« Jack » avant l’opération


Résumé - Jack, 49 ans, ancien officier de renseignement militaire. Vision d’ovni à 18 ans, à la pêche avec son père. Problèmes de santé dans l’enfance, terreurs nocturnes, somnambulisme. Expériences paranormales de « rêve partagé ». Souvenir vague d’enlèvement à bord d’un ovni. Episodes de temps manquant. Douleur à la cuisse droite, et perte de poids, en 2003. Retrouve la santé après l’opération. Régression hypnotique par Yvonne Smith. Se souvient de l’ovni ave une machine qui insérait quelque chose dans son corps…)
Un extrait du livre :
« Chaque opération peut être considérée comme unique, mais il y a un ou deux cas qui sont vraiment à part. Voici l’un d’eux. L’enlevé était un homme âgé de quarante-neuf ans lors de l’opération. Nous l’appellerons Jack pour respecter son anonymat. Professionnellement, Jack était un officier de renseignement militaire et il avait pris sa retraite après avoir servi son temps d’active. Jack dit qu’il n’avait jamais été en zone de combat durant les six années de sa carrière militaire, et il se considérait lui-même comme un simple technicien – qui n’avait accès qu’à un niveau « secret » – opérant sur des équipements électroniques. Il dit que son équipement était installé dans des lieux qui impliquaient des niveaux de sécurité bien plus élevés. Autrement dit, il était obligé de se trouver dans des lieux où il n’avait pas le niveau d’habilitation requis pour être en conformité avec les règlements du renseignement militaire.
Il me dit aussi qu’il n’avait que peu de souvenirs d’expériences relatives aux ovnis. L’une d’elles se produisit quand il avait dix-huit ans. Il m’expliqua qu’un jour son père l’avait emmené à la pêche, avec son frère plus âgé. Son plus jeune frère était né cette nuit-là. Son père n’était pas du genre à s’intéresser beaucoup à cela, «avec tout ce sang», comme il le lui dit sans ménagement. Il préférait aller pêcher. La nuit était calme et l’eau de la rivière où ils pêchaient s’écoulait doucement, presque sans une ride. Soudain, leur attention fut attirée par une lumière traversant le ciel de droite à gauche. »
Jack décrit alors un engin qui avait la forme classique d’une soucoupe qui traversa lentement le ciel devant eux.



Dessin de l’ovni vu par Jack

Il y a d’autres aspects intéressants, ufologiques et paranormaux, dans l’histoire de Jack :
« Il faut noter que Jack admet avoir eu deux périodes de temps manquant, mais ne les relie pas à des épisodes ufologiques. Également, il me dit avoir eu des cicatrices et des marques sur ses jambes que ni lui ni ses parents ne pouvaient expliquer. Jack me dit qu’il avait fait des rêves d’une guerre se déroulant dans le ciel nocturne avec une multitude d’appareils étranges se combattant les uns les autres. il me raconta aussi qu’il avait vécu pas mal d’épisodes de «sortie du corps», ou OBE (Out of Body Experiences ), mais n’avait jamais eu de mal à réintégrer son corps. En plus de cela, il avait vu aussi d’étranges boules lumineuses dans sa chambre et avait eu des épisodes de paralysie inexplicable qui inhibaient sa faculté de sortir de son corps.


« À l’époque de l’opération, Jack n’avait eu aucune thérapie en relation avec le phénomène des enlèvements aliens, ou de régression hypnotique pour accroître sa mémoire. Jack vint à mon bureau pour la première fois le 12 décembre 2007. il se soumit alors à un examen physique complet par moi et notre chirurgien général et relata toute son histoire.
L’examen mena au constat d’un homme de 49 ans en relativement bonne santé, souffrant seulement de diabète léger mellitus. Jack nous parut assez mince et nous parla de sa très grande perte de poids et de sa léthargie à la suite de la découverte d’un objet dans sa cuisse droite. Il nous exprima son opinion que les militaires l’avaient utilisé de quelque façon comme sujet d’expérimentation avec des extraterrestres, et que ces entités non-humaines lui avaient implanté une sorte d’appareil qui lui avait causé sa perte de poids et ses problèmes de santé. Il expliqua son souhait que cet objet soit retiré et analysé. »

Il faut souligner ici que la plupart des opérations ont été réalisées à la demande des patients. La suite du chapitre relate en détail l’opération, puis la séance d’hypnose réalisée par Yvonne Smith.

15 ème opération, « Steve », le 6 septembre 2008 (Chapitre 5)
Implant dans le deuxième orteil du pied gauche

Résumé : Steve est un scientifique spécialisé dans les nanotechnologies. Né en 1960. Plusieurs incidents étranges avec le Dr Leir et l’équipe de TV japonaise qui a filmé l’opération : panne de voiture bizarre ; des mentions figurant sur l’enveloppe des radios sont apparues sur sa radio, chose impossible selon les techniciens. Après l’opération, hypnose par Yvonne Smith. Expériences dès l’enfance. Sa femme d’abord incrédule, mais enlevée elle aussi. L’implant extrait a fait l’objet d’une étude scientifique poussée : voir quelques extraits plus loin.

Extraits du livre.

« Steve est né le 4 mai 1960 à Evanston, dans l’Illinois. Sa mère avait eu une grossesse normale, mais Steve nous dit que l’accouchement avait été difficile, sans donner de détails. Dans sa petite enfance, Steve avait souffert de terreurs nocturnes, de somnambulisme, de peurs de l’inconnu, et d’autres indications d’une enfance perturbée. Steve avait aussi une histoire de maladies d’enfance classiques, sans complications, et il était dans l’ensemble en bonne santé. Il ne mentionna qu’un seul accident sérieux qui se produisit à vingt-trois ans, lorsqu’il tomba d’un bateau et se blessa au cou, mais sans que cela ne provoque de douleur permanente ni laisse de trace visible de blessure profonde. Steve nous dit aussi qu’il passe chaque année un examen de santé avec son médecin local.
(…)

(La suite a été obtenue sous hypnose par Yvonne Smith.)
« Les expériences de Steve ont commencé dans son enfance. Il pense que ses parents étaient également impliqués, mais ces premiers événements ne furent jamais exposés au grand jour ni discutés dans sa famille. Ses expériences étaient généralement de nature assez typique. Il était emmené hors de sa chambre en flottant dans un rayon de lumière, et ramené plus tard avec peu ou pas de souvenirs de ce qui s’était passé. Quand Steve se maria et se mit à élever sa propre famille, il commença à se rendre compte que celle-ci était également impliquée. Sa femme ne voulait admettre aucune de ses propres expériences, dont l’une avait eu lieu plusieurs années auparavant, alors qu’ils étaient tous deux en voyage sur une route peu fréquentée, aux petites heures du matin. Un objet flottant, rond et brillant, les suivit pendant un ou deux kilomètres, puis réduisit la distance entre eux. Nerveux, Steve s’arrêta au bord de la route. L’objet volant, qui était très lumineux, se mit en vol stationnaire. Steve commença à se sentir paralysé, ne pouvant tourner la tête, ni toucher sa femme. Il remarqua alors que le ciel était maintenant visible à travers le toit de la voiture, et que sa femme commençait à flotter à travers le toit. Bien qu’il ne puisse pas bouger ses muscles, il resta conscient, et il se souvient qu’on lui dit que tout irait bien pour sa femme, et qu’elle serait ramenée rapidement. Cela ne réduisit pas ses craintes, bien qu’il ait appris à faire confiance à ses ravisseurs non-terrestres. Steve avait vu un certain nombre d’êtres différents au fil des ans, la majorité d’entre eux étant les «Gris». Il les décrivit comme n’étant pas tous de la même culture. Bien qu’ils fussent en majorité de petite taille, il y avait une espèce plus grande qui semblait plus âgée, et pour certains on pouvait même identifier leur sexe qui était apparent sous leurs uniformes bien ajustés. Certains avaient des uniformes serrés contre la peau, et d’autres avaient une allure plus «animale», sans costume apparent.
Steve avait aussi observé d’autres êtres non-terrestres, certains nous ressemblant tout à fait mais d’une plus grande perfection dans leurs traits et leur comportement. Il arriva à la conclusion que, d’une certaine manière, tous les êtres avec lesquels il avait été en contact étaient génétiquement apparentés. Ils avaient en commun de communiquer télépathiquement, bien qu’il puisse entendre certains bruits bizarres qu’ils se communiquaient les uns aux autres.
« Les relations de Steve avec ces êtres se développèrent avec les années. Il expliqua que, bien des fois, il n’était pas emmené hors de son domicile mais que, quelle que fût l’expérience menée avec lui, elle était menée dans sa propre chambre. À mesure que ses enfants grandissaient, ils se mirent à faire part de leurs expériences nocturnes à Steve et à leur mère. C’est à ce stade que la femme de Steve commença à admettre qu’elle était elle aussi impliquée. »


16ème opération, « Phil », le 24 avril 2010
Implant dans le poignet droit

Résumé - Cas adressé à Leir par Budd Hopkins. Né en 1961. Vision d’ovni lors d’un camping à 11 ans avec deux camarades, dont Don qui vient témoigner lui aussi. Hypnose de Phil et Don par Yvonne Smith. Phil se souvient de l’enlèvement à bord de l’ovni. Examen médical par des « Gris », etc. Communication télépathique avec les aliens. Don se souvient juste de l’extérieur de l’ovni.




Dernier repérage de l’implant de « Phil » avant l’opération

Extraits du livre.

« Venons-en maintenant à la seizième opération et à notre patient venu de Old Hickery dans le Tennessee, que nous appellerons «Phil». Bien qu’il m’ait vu à la télévision, et entendu à la radio, Phil contacta Budd Hopkins qui me l’adressa. Ma première communication avec Phil eut lieu par téléphone. Il me dit d’emblée qu’il avait un objet métallique dans son poignet droit et que celui-ci était là probablement depuis qu’il avait onze ans. Phil me dit qu’il avait une radio, qu’il était disposé à m’envoyer, qui révélait un objet métallique étranger. Les radios arrivèrent quelques jours plus tard : après avoir vu les films, je lui envoyai le questionnaire de plusieurs pages que nous envoyons à tous nos contacts pour une éventuelle opération.
(…)
« Alors âgé d’environ onze ans, Phil et ses copains décidèrent de camper une nuit sur un grand terrain, pas très loin de la maison de Phil. Avec excitation, ils rassemblèrent des couvertures (pour installer une tente à leur façon), des sacs de couchage, de l’eau potable et de la nourriture pour la cuisiner sur un feu de camp. En arrivant sur la propriété, les trois garçons cherchèrent le meilleur endroit pour dresser leur tente, et pour voir les étoiles – un élément nécessaire pour se raconter des histoires effrayantes. Ni Phil ni son ami Don ne se rappelaient exactement à quelle heure ils avaient décidé de se coucher. Après s’être retiré, Phil commença à être nerveux et agité, dans les premières heures du jour. Il se souvient d’avoir ouvert les yeux et d’avoir observé l’étoile la plus brillante qu’il ait jamais vue, juste au-dessus du lieu du campement : elle était si brillante qu’il trouva que cela valait la peine de réveiller ses compagnons. Ils résistèrent à ses efforts pour les réveiller mais, une fois en éveil, ils se groupèrent tous les trois et regardèrent, impressionnés, l’étoile devenir plus brillante, puis qui commença à descendre juste au-dessus d’eux, devenant de plus en plus grosse et de plus en plus proche. Phil et ses amis n’avaient pas peur à ce moment-là ».

(La suite a été révélée sous hypnose avec Yvonne Smith)

« Pendant de nombreuses années, je n’avais pas inclus de régressions hypnotiques dans mes écrits, mais après seize opérations, j’ai admis qu’elles pourraient ajouter des données utiles qui risqueraient, autrement, d’être perdues. Étant donné que la complexité de ce cas dépassait tout ce que nous avions déjà rencontré, le moindre détail pouvait devenir très important. Ce qui rendait ce cas unique, c’est qu’il impliquait trois personnes séparément – qui se souvenaient toutes de quelque chose. Nous voulions non seulement que Phil subisse une régression hypnotique, mais nous voulions profiter de l’occasion pour l’appliquer aussi à son ami Don. Depuis pas mal de temps, A & S Research a travaillé avec des hypno-thérapeutes connus et qualifiés, tels que Budd Hopkins, David Jacobs, Yvonne Smith et John Carpenter. Dans ce cas, notre choix fut Yvonne Smith, qui se familiarisa avec le cas pendant que le patient était mis en condition.
(…)
« Je vais donner ici seulement une petite partie de ce qui est apparu car le cas est toujours en cours d’étude, et Yvonne en présentera une partie dans son nouveau livre, à paraître prochainement : Intrusion à Coronado : Le Président, le service secret, et l’enlèvement alien.
Une fois que l’amnésie avait été contournée, Phil se souvint qu’il avait été, avec ses amis, en présence de «Gris» du modèle «standard», dans un grand local rond ayant l’apparence d’un hangar où se trouvaient d’autres appareils volants. Il exprima du souci, non pas pour lui, mais pour ses amis. Les êtres Gris l’assurèrent télépathiquement que les garçons iraient bien et seraient bientôt ramenés à terre. Deux parmi les autres «intelligences» non-humaines prirent les deux garçons avec elles et les emmenèrent loin de Phil. Il commença alors à paniquer et dut être assuré de nouveau qu’il ne leur arriverait rien. Là-dessus, il fut escorté hors du
hangar le long d’une coursive incurvée et peu éclairée d’où il put voir de nombreuses pièces. Yvonne lui demanda ce qu’il était capable de voir dans ces chambres et il lui dit qu’elles
ressemblaient toutes à de petites pièces d’hôpital. Il fut alors escorté dans l’un de ces locaux et on lui dit de monter sur une table qui semblait sortir du mur en reposant sur un seul pied.
Phil dit que cette table était très confortable, adaptée à la forme de son corps comme si elle avait été faite pour lui. Il remarqua que l’air qu’il respirait à bord était humide et lourd et, bien qu’il ait eu un peu d’appréhension, il avait au fond lui le sentiment d’être en train de vivre une aventure merveilleuse, et espérait étrangement qu’elle ne s’arrêterait pas.
Deux des êtres Gris s’approchèrent de lui. L’un d’eux s’approcha très près de son visage, avec un grand œil noir presque pressé contre sa peau. Il se sentit immédiatement détendu, et remarqua que l’autre Gris était en train de l’examiner avec plusieurs instruments. Ils inspectèrent son nez, sa bouche, ses oreilles, son rectum et son pénis. Ses yeux furent examinés par une sorte de matrice visuelle dans laquelle il pouvait voir une myriade de lignes, de rectangles et d’autres figures géométriques. Un dispositif apparut, venant par-dessus sa tête, et fut placé juste à côté de son poignet droit. Il ne ressentit pas de douleur et, bien qu’il ait voulu consciemment déplacer son bras et son poignet, celui-ci resta immobile comme s’il était collé à la table. On lui dit alors qu’il pouvait quitter la table et rejoindre ses amis. Il fut à la fois heureux et triste que l’expérience soit terminée, mais eut l’intention d’en discuter après avec ses amis. Phil fut alors escorté par un seul Gris jusqu’au local où il s’était trouvé en entrant dans l’appareil. Les garçons étaient tout excités de se retrouver là, mais, bizarrement, ils ne parlèrent pas de leur expérience. »



Résumé des indices physiques


Voici maintenant une récapitulation des indices physiques constatés dans les différents cas étudiés par Roger Leir et ses collègues depuis une quinzaine d’années.

1. Tous les patients (ayant un implant) ont eu des expériences d’enlèvements, pour autant qu’aient pu en juger les experts qui nous semblent qualifiés pour en décider.
2. Tous ont subi des examens préopératoires de radios ou de scanographies montrant des corps étrangers.
3. Aucun d’eux ne semble avoir de cicatrices ou de points visibles d’entrée.
4. Certains ont un souvenir conscient de l’événement.
5. Chez tous, on observe des émissions électromagnétiques émanant de l’objet dans le corps.
6. On ne détecte chez aucun d’eux de la radioactivité.
7. On détecte chez certains des émissions sur fréquences radio, dont certaines correspondent à des émissions, fixes ou mobiles, vers l’espace lointain, vérifiées sur des documents FCC.
8. La plupart (des objets) sont enrobés d’une couche étrange de matériau biologique ou de céramique qui semble bloquer les réactions d’inflammation ou de rejet dans le corps.
9. Tous sont associés de quelque façon avec des terminaisons nerveuses.
10. La plupart ont un mécanisme d’activation-désactivation que nous ne comprenons pas encore.
11. Tous contiennent des éléments rares, tels que le Gallium, le Germanium, le Zirconium, et dans un cas un isotope de l’Uranium qui n’existe pas à l’état naturel.
12. En plus de cela, nous avons trouvé des nano tubes de carbone, des nano fibres de carbone, et des nano assemblages de carbone.
13. nous avons aussi trouvé ce que l’on appelle des cristaux orthorhombiques de chlorure de sodium de différentes tailles (le chlorure de sodium, ou sel de table ordinaire, ne se trouve pas sous cette forme dans la nature).
14. D’autres objets semblent n’avoir aucune explication à ce jour, comme des sphères dorées, des sphéroïdes, des couches analogues à des céramiques, et de nombreux autres objets inconnus en métallurgie terrestre.
Un extrait du rapport scientifique du physicien Steve Colbern de janvier 2009, sur l’implant extrait lors de la quinzième opération, dans lequel Steve a le surnom de « John Smith ».

Dans l’étude scientifique poussée réalisée par le physicien Steve Colbern, qui figure dans le livre du Dr Leir, un aspect que je trouve particulièrement intéressant est l’analyse isotopique de plusieurs éléments, réalisé par spectroscopie de masse, qui a révélé que les proportions isotopiques de ces éléments s’écartent significativement des proportions usuelles connues sur Terre. En voici le tableau comparatif :



Comparaison des pourcentages isotopiques

Voici, pour finir, des extraits de la conclusion du rapport scientifique - les deux premiers et le dernier - qui invitent à réfléchir sur ce que pourraient signifier ces mystérieux implants.

1. L’échantillon est constitué principalement de fer, avec une forte teneur en carbone et en oxygène. L’alliage de fer qui contient 5,2% de nickel est très magnétique. Des traces d’iridium et d’autres métaux précieux, de tungstène, de gallium et de germanium suggèrent fortement que la partie métallique de l’échantillon est un fer météorique, d’origine extraterrestre.
2. Les grandes différences entre les rapports isotopiques des éléments de l’échantillon et les rapports isotopiques des mêmes éléments terrestres incitent fortement à penser que la matière de l’échantillon est d’origine extraterrestre.
(…)
8. La fonction de l’appareil ne peut pas être déterminée avec certitude à partir des données disponibles, et le dispositif pourrait avoir de multiples fonctions ou missions. Il est probable, cependant, que deux de ses fonctions sont la surveillance de l’état physiologique du corps de M. Smith, et du contrôle de son humeur ou de son esprit.

Une dernière précision est utile à faire ici. A la page 139 du livre, figure une évaluation du nombre d'enlevés possibles aux Etats-Unis, d'après le sondage de l'institut Roper réalisé en 1991 sur 6 000 personnes. Le nombre cité, de 33 millions de personnes, correspond à une réponse positive à l'une des cinq questions clés du sondage, qui était celle de s'être réveillé paralysé avec l'impression d'une personne étrange, ou d'autre chose, présente dans sa chambre. En fait, il vaut mieux citer le nombre, encore très élevé, de 3,7 millions de personnes qui correspond à une réponse positive à quatre ou cinq questions, soit 2 % de l'échantillon. Cette correction sera faite lors d'un retirage. Il faut souligner cependant que le sondage ne prouve pas qu'il y a vraiment un tel nombre d'enlevés. Ce n'est qu'une approche par sondage.



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